jeudi 11 septembre 2014

Axël

Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d'étranges fleurs sur des étagères,
Écloses pour nous sous des cieux plus beaux.

Usant à l'envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.

Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot tout chargé d'adieux ...


mardi 21 mai 2013


Par le temps qui fugue
Sur l'étendue sans fond
L’esprit pause les jalons de son éternité
Je te traque, toi qui n'appartiens à personne
Polissant la trame de ton intention
Je rêve mes mains sur l'étendue glissante
Au travers d'un temps oublié
Le brouillard entoure le champ de la conscience
Sans le secours d'aucun univers
J'ai appris par cœur ta personnalité
car je n'avais d'autre recours
J’espère comme avec moi-même...

vendredi 24 septembre 2010

Retour vers les futurs


Les temps changent
et le fluide qui anime les relations des bulles ego-tique
se colore d'émois harmonique.

mardi 31 août 2010


Quand il est question de bicaméralité

Pour présenter le sujet :
Le cerveau gauche, qui commande la main droite est le scientifique et le dictateur, et développe son pouvoir par la parole.
Le cerveau droit, qui commande la main gauche est l’artiste et la conscience dans les coulisses, et la voyance est sa raison d’être.

Par inspiration, celui qui est à l’écoute de ses voix intérieures, se dispose à l’harmonie et celui qui expire la parole entraîne la dysharmonie.

Dans une société harmonieuse, les individus qui se relieraient par les voix intérieures n’auraient pas besoin des voix autoritaires extérieures.

Les paroles sont, à un degré certain, une forme de dictature, dont seul un regard affectif peut donner le recul nécessaire pour les dépasser et retrouver le chant harmonieux.

La seule relation qui devrait prévaloir entre les êtres serait le chant et la poésie, ainsi que le regard complice… et la présence silencieuse.

lundi 8 février 2010

mardi 2 février 2010

De Nergal à Erra

Puis Erra se déchaîne :
Les temples sont profanés,
Les lieux habités deviennent des déserts,

Les fripons ont accès aux palais des princes,
Le fils déteste son père,

La mère déteste sa fille,

Le boiteux court plus vite que l’homme normalement constitué,

Les jeunes sont enterrés par les vieux,
L’homme mange l’homme…


Et les trois Vesta ont rallumé le foyer Divin,

Par leurs chevelures de Gorgones,

Vanité, hypocrisie, et luxure

Lumière, danse et musique

Leurs regards pétrifieront le profane
Et l’initié les consommera…

Et le palais de Nergal deviendra lumière…

Et le royaume des enfers sera de nouveau maîtrisé.

Que les abîmes du temps s’ouvrent par l’Harmonie des cordes.
Et la divinité rejaillira dans l’éternité!

vendredi 29 janvier 2010

Métaphore

Entre la relativité du subjectif et la rigidité de l’objectif, je tente une harmonie avec mon prochain, étant précédemment en retard sur maintenant.
Pourquoi le temps rend tout relatif ?

Au cœur de la relation, l’histoire coule autour de son axe, et nous rapproche en conscience !

mercredi 13 janvier 2010

Fin des temps modernes

En quatre-vingt deux, je vivais avec mes frères et mes sœurs dans une communauté et nous étions persuadés que la société entraînait sa perte.
Le nucléaire, la spéculation commerciale, le béton, la volonté de tout changer, l’oublie des sagesses ancestrales, et puis ceux qui voulaient devenir riches avant les autres, au détriment des autres… …surtout ne plus avoir d’enfants pour ne pas qu’ils souffrent du « no-futur », étaient la trame de notre vie-polémique.

Et puis, savoir d’où l’on vient, ce que l’on a oublié dans la course du temps, et retrouver ce qui nous unit, et et et … tout a continué… tout a dégénéré… et les loups reviennent pour chanter nos désillusions.

Viens, je t’emmène, on retourne, on rentre…à la maison

La genèse coule toujours dans les veines des femmes et de l’Homme.

vendredi 8 janvier 2010

D'Aristote à Khadra

Aristote, philosophe Grec (384 av JC), dans son traité de politique, tome 1, écrit :
« Celui qui est sans cité est un être ou dégradé ou supérieur à l’homme. »
Et plus loin :
« L’homme qui ne peut pas vivre en société, ou qui n’en a nul besoin, parce qu’il se suffit à lui-même, ne fait point partie de la cité : dés lors, c’est un monstre ou un dieu. »


Monsieur Mohamed Moulessehoul, célèbre sous le pseudonyme féminin de Yasmina Khadra, nous révèle en son fort intérieur :

« J’ai toujours été fasciné par les marginaux. Ce sont des divinités, pas des vaincus, mais des gens qui ont compris une chose que je ne comprendrai jamais. »



Par la présence des bédouins et le silence des déserts, il vient un temps où les révélations viennent de l’intérieur dans une intention qui nous semble étrangère, et pourtant si familière.

Un doute dans nos certitudes est le début de la bonne foi.

jeudi 24 décembre 2009

Gaga de Lady

Les fleurs ont les beautés de l’éternité,
et l'odeur de la réalité.
Leur danse fait silence à la conscience,
dont seul l'esprit connaît la science.


Elle
La couleur de ces respirations,
me donne les fruits nommés inspirations.
Nectar des métaphores,
je m'adonne aux mariages de nos efforts.



La vie est un miracle apocalyptique où seule la conscience survie.


Le Marco-code

PS: gaga veut dire débile et non sénile!

lundi 2 novembre 2009

En direct d'interGnome, "Le Gong du septième jour"


Qu'il est doux et crémeux ton camembert, Daevid Halen, et il sent le suint de la famille électrique.

Le gong de la nouvelle ère résonne à mes oreilles et il est temps de se lever et de prendre le chemin du retour, avec les trésors acquis.


jeudi 22 octobre 2009

Paroles d’autochtone


Les hommes qui travaillent ne peuvent rêver alors que la sagesse nous vient par les rêves.

Enfant, je savais donner: j'ai oublié cette grâce depuis que je suis devenu civilisé.
J'avais un mode de vie naturel alors qu'aujourd'hui il est artificiel.

Tout jolie caillou avais une valeur à mes yeux, chaque arbre qui poussait était un objet de respect.
Maintenant, je m'incline avec l'homme blanc devant un paysage peint dont on estime la valeur en dollars.

Nous avions affaire à une autre race petite et faible quand nos pères l'ont rencontrée pour la première fois, mais aujourd'hui elle est grande et arrogante.

Assez étrangement, ils ont dans l'idée de cultiver le sol et l'amour de posséder est chez eux une maladie.
Ces gens-là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser mais non les pauvres.
Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent.
Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour leur propre usage et se barricadent contre leurs voisins.
Ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures.
Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage.



mardi 20 octobre 2009

Les Lacs de l'amour

Pour comprendre ce terme de "lacs" (prononcer « lasse »), il faut remonter dans l'obscurité des temps, là où la conscience lui donnait une place.
Cela désignait alors, le lien attachant du désirant et du désiré, du convoitant et du convoité, de l'admirateur et de l’admiré.
Cela s'entend objectivement comme subjectivement.

Les lacs créent un tissage indescriptible entre les choses animées comme inanimées, visibles comme invisibles.
Ils sont la raison de ce monde.

Dans l'Égypte antique, Hathor, déesse de l'amour, est souvent représentée avec des bandelettes dans les mains, pour signifier le désir qu'elle crée envers son environnement (voir Horapollon).
En vieux François, le verbe "lacier" signifiait "attacher". Les laçons étaient des cordons ferrés aux deux extrémités, et servaient à attacher, d'où le terme aujourd'hui de "lacet".

Les entrelacs Celtes représentent ces enchevêtrements de liens qui unissent toutes choses, et qui jamais ne se recoupent.
Souvent, le Saint est représenté méditant sur cette invariable réalité.

Je ressens le terme «enlacer » comme un moyen de resserrer les liens, les désirs, les sentiments, ce qui crée la vie dans ce monde, mais engendre invariablement des tensions là où il y a un manque d'harmonie.
Se délasser par des activités solitaires desserre les liens et permet de retrouver son équilibre et son harmonie vis à vis de son environnement.
Je rajouterai que ces lacs sont perçus comme des fibres lumineuses par les médiums, et que l'ensemble qui se tisse sur une personne est nommé corps astral ou éthérique, mais je préfère l'appeler corps de désir.

Je finirai en disant que cet univers lumineux est extra dimensionnel et extra temporel.
Le matérialiste ne peut voir que les effets, mais pas la source.


mardi 13 octobre 2009

samedi 10 octobre 2009

Vaïchnavisme ou chasse à lacs





Les Dieux, dans les temps antiques ont eu leurs citées pour s’épanouir.
A nous, les êtres humains, d’en construire une pour les rejoindre.


De la tragédie des nations, des hommes, des familles, naît le déchirement du cœur, et, par la bonne volonté, nourrissant le désir, puis l'amour, renaît l'unité.

Nous, la jeunesse, sommes remplis de la souffrance de nos aînés et sommes là pour la transmuter en amour.

Les flamants roses nous invitent à traverser le mur de nos peurs.
Regardons nos horreurs pour en découvrir dans nos cœurs la beauté qu’elles engendrent.




Pendant sept ans, j'ai souffert pour une cité de rêve.
Aujourd'hui, des âmes nobles me l'accordent.
Je redécouvre cette société « humaine ».

Il ne me reste plus qu'à soigner mes blessures pour ne plus blesser mes frères et mes sœurs.



Communion

Ces mots te donnent la musique des silences que nos raisons délaissèrent aux anges.
Enlaçons et délaçons les lacs dans la perfection d'un entrelacs que la beauté contemple, dans la liberté d'une souffrance apaisé.
Perfection de nos attentions mutuelles, je te donne cette lumière pour nos danses éternelles.
Que la légèreté des fluides subtiles te donne la place de t'épanouir.



Toi qui pose le regard sur ces lignes, la lumière de ton attention nous unit à l'unisson, sans que nous nous côtoyions.
Je te donne quelques fruits désirables, mais je garde quelque perles rares.

Ces termes furent ciselés au ciseau de cristal que la lumière électrique amène à ton pupitre.

jeudi 1 octobre 2009

ICI


A l'aube du septième jour, et les âges étant accomplis, le continuum temporel va pouvoir se briser. Après avoir voyagé dans l'espace, nous allons pouvoir pénétrer les abîmes du temps. Seul les aguerris pourront contempler l’éternité des rives de feu. Aujourd'hui, la souffrance devient nectar... et l'oisiveté torture... Puisse ces écrits sibyllins éclairer votre attention.

mercredi 30 septembre 2009

Arcane des temps modernes

J'ai bu l'élixir de vie, le soma des Dieux. J'y ai appris que la souffrance du cœur et du corps rendaient l'âme belle. Qu'il ne saurait y avoir de beauté en-dehors d'elle. Que le langage des Dieux est bien plus ancien que l’hypocrisie des hommes (et des femmes). Et que la perpétuation de l'amour, malgré la souffrance, ne peut être que notre salut.

Je ne t'ai pas trahi, toi qui m'engendra ainsi que ce monde, pour me mettre à l'épreuve...
Je suis conscient de ma déchéance, mais toujours une conscience pour te l'offrir. Je te demande de me rendre ma famille, ces âmes pures, celles que tu conçus jadis pour remplir le parc d'Eden.
Et que le Dragon apaise sa colère, car il est seul gardien de notre monde.


Écrit par Mad Mark, descendant d'Hérophile et d'Hopile, étant gardien de la mémoire du rocher de Saint Estève.

lundi 28 septembre 2009

Terre de Griots







Il y a quelques années, j'ai rencontré un griot qui arrivait d'un petit village du Burkina Faso.

Il m'a dit que je vivais comme un Africain.
Il m’a initié à son art et est reparti avant de devenir fou dans cette société...

jeudi 25 juin 2009

Les humains

Étranges humains qui tous veulent se libérer et toujours inventent de nouvelles chaînes.
Étranges humains qui tous veulent s’associer et ne font attention qu'à eux même.


La nature semble toujours préserver son équilibre sauf dans le cas de l’espèce Humaine.
Si nous faisons vivre la terre, elle nous fait vivre aussi, alors, respectons ce mariage.
Sinon, ce sera le divorce.
Les vaches à lait ne sont pas éternelles!
Alors, ne consommons que ce qui nous est nécessaire !

mercredi 31 décembre 2008

Herméneutique et/ou clés cognitives ?

Il y a des volontés pour que ce monde ne change pas, malgré le constat des inégalités de richesse et la destruction qui en découle.

Le public s’en accommode, dans la peur d’autre chose, ou de reconnaître une quelconque erreur d’appréciation personnelle.

Mais cela ne peut cacher un fait : Nous avons rencontré l'ennemi et c'est Nous.


Aujourd’hui, de nouvelles réalités s’imposent et sont invariablement autodidactes, donc non publiques.

L’intention qui nous est étrangère s'accomplie, cela à l’indifférence des gagneurs dans leurs pleurs.


La sortie de crise est dans l’adoption de solutions simples comme nous la susurré Nicola Tesla.

lundi 8 décembre 2008

Tiens ! un autre moi…

Nous bavardons sans cesse avec nous-mêmes à propos de notre monde.

En fait c’est ce bavardage intérieur qui maintient notre monde tel qu’il est.

Et quand cesse ce bavardage intérieur sur nous et notre monde, le monde reste inchangé.

Nous le renouvelons, nous le maintenons, nous l’entretenons par ce bavardage intérieur.

Plus encore, nous choisissons nos chemins comme nous parlons à nous mêmes.

Ainsi, nous répétons toujours les mêmes choix jusqu’au jour de notre mort, parce que nous répétons sans cesse le même dialogue intérieur.


Une solution serait certainement dérangeante, et n’est certainement pas sujette au dialogue, alors…

lundi 24 novembre 2008

Certitude

Les gens nous disent dés notre naissance que le monde est comme ceci et comme cela, et naturellement nous n’avons d’autre choix que d’accepter le monde tel que les gens nous l’ont décrit.




Est-il encore possible d’exister par soi même sans devoir adhérer aux idées reçues d’une quelconque secte, religieuse ou sociale.

J’entends que « exister par soi même » consiste à s’appuyer sur ses propres expériences et convictions du monde, et peut-être, se retrouver seul…

Voilà le chemin du guerrier, s’affranchissant de la suffisance.

samedi 15 novembre 2008

Des images qui parlent et des paroles imagées.

J’étais là, étranger au milieu des miens,

Cherchant mon chemin dans un autre monde.


Ils étaient tous là, une offrande dans leurs mains,

Ayant foi en leur raison d’être.

Quand la cérémonie fût achevée,

Nous étions frères et sœurs,

Pour un instant d’éternité.


Et puis… … …

Sur-nom

« Délire » titubait sur le chemin de la vie,

Une bouteille d’éternité à la main.

Mais où était passé son lot d’habitudes,

Qui l’entraînait sur la mer de l’oublie.


Et capitaine « cœur de miel »,

Entra dans un profond sommeil.

vendredi 14 novembre 2008

Les abîmes du temps à la porte du second anneau de pouvoir


La tradition est attachée au passé.

L’invention est attachée au futur.

La société médiévale condamnait tout ce qui était invention comme étant l’œuvre du diable, et de ce fait, empêchait toute évolution.

Les dirigeants de notre société ont voulue une évolution rapide par l’abandon des problèmes dus aux consciences passées.

Ils ont imaginé la P.N.L. (programme neuro linguistique), pour reprogrammer la société, s’appuyant sur le paupérisme des masses et sur une confiance aveugle en leur futur.

Jadis, la société était dirigée par les religieux, donc conservatrice.

Aujourd’hui, elle est dirigée par des matérialistes, donc inventive.

Maintenant, nous sommes dangereusement coupés de notre passé, pris dans une cascade de problèmes futurs.

J’extrapole :

Les anges sont des conservateurs, donc ils cherchent à rendre le passé permanent.

Les démons sont des provocateurs, donc ils cherchent à rendre le présent dynamique, entraînant un futur.

Et l’équilibre dans tout cela ?

Entre le monde coincé d’avant et le monde fragile de demain, ne faudrait-il pas rééquilibrer la balance, pour retrouver l’instant présent, dans la conscience, la mesure, la responsabilité et la simplicité ?

vendredi 7 novembre 2008

Hippy-pip hourra

Le mouvement Hippy ne fut pas un mouvement prémédité.

Devant les perspectives d’un monde dit « moderne », que certains êtres humains ne pouvaient pas supporter moralement, il se développa spontanément.

Il recèle une dimension intuitive et instinctive.

Il fut un débordement d’émotion, exprimé par une création artistique, face au guet-apens et à l’encadrement resserré d’autorité dictatorial.

Un besoin de liberté poussa ces jeunes gens d’alors à se rapprocher des anciens peuples naturels.

Ils cherchèrent à adopter les modes de vie tribal qui restaient côtoyables sur terre.(Indien, Amérindien, Africain, ext.)

Mais, ici, dans notre terroir, c’est bien le peuple celte, nommé par les Romains « les chevelus », qui chercha à renaître. (pour information, le système administratif actuel est calqué sur celui des Romains)

Quand l’humain est aculé dans sa situation, le silence de son mental réouvre la voie des ancêtres.

Il y a 2000 ans, à peu prés, les Romains chassèrent le naturel des autochtones, et voilà qu’il sembla revenir au galop.

Et le galop d’un cheval qui porte crinière rapporte l’énergie naïve, mais authentique.

Et Jésus, pourquoi l’a-t-on toujours représenté avec les cheveux longs ?

N’était-il pas le plus grand des hippys ?

Il semble d’ailleurs que hippy et martyr soient synonymes par le désir des gens dit « bien rangés ».

Je dis que les lois semblent faites pour forcer les personnes immorales à vivre ensemble, et que les véritables êtres humains ressentent l’attitude correcte à adopter.

Mais voilà, les lois servent certains à asseoir leur autorité.

Qu’est il possible humainement de faire ?

Laisser la nature faire ?

Alors, restons inactifs !

Montrer l’exemple ?

Aujourd’hui, les marginaux que je côtoie ont bien du mal à s’entendre.

Et puis, ils sont bien trop occupés à survivre dans ce système.

Alors, il reste le chemin de grand petit homme…

jeudi 6 novembre 2008

Une aventure tribale : la sweat loge

D’abord, on fait un cercle de trous.

Puis on y enfonce de grandes branches de saule.

Ensuite, on les attache entre elles pour former une voûte.


Pour finir l’ossature, on attache de grandes tiges de saule en cercles concentriques pour former un quadrillage résistant.


Il ne reste plus qu’à couvrir le tout de couvertures de laine, et à préparer le feu pour chauffer les pierres.


Après la cérémonie, après avoir connu la naissance du monde, et après s’être ré habillé car c’est l’hiver, une nouvelle vie commence ...

Bon, tout le monde a survécu.

A suivre…

mardi 4 novembre 2008

Etre Hippy, pour côtoyer les dieux

Je suis le gardien de la mémoire de mes frères et sœurs, morts pour la liberté d’avoir voulue être autre chose que les prisonniers d’idées reçues et imposées.


Elle m’a donné le regard de sa détresse le jour où elle quitta ce monde.

Je n’oublierai jamais ce qu’est le cœur d’un oiseau qui ne put accepter une prison.

Son âme était vierge de toute méchanceté, et son corps violé par des personnes sûres d’elles.

Cette âme est restée la couleur secrète de ma vie, qui la fit naturante et fluide.


Je ne suis plus des idées, mais une vibration qui remplit l’insondable par tous les sourires d’éternité, en feux d’amours, en silences musicaux, en bonheurs secrets, en lumières sur le velours de la nuit.

Et pourquoi pas oser vivre sa sensualité à la face des ombres sérieuses ?




Puissent ces mots ouvrir une fenêtre sur ton âme.

Mais revenons aux rêves de nos silences complices.

jeudi 30 octobre 2008

Clin d'oeil à Julian Jaynes

La société devient bien trop complexe pour les humains, au point qu'ils ne peuvent même plus interagir comme ils l'avaient toujours fait avec leur langage si simple, en ayant un cerveau quasiment semblable à celui de leur ancêtres fonctionnant uniquement “à l'instinct” ...

A cette époque, les gens étaient comme “guidés” par des sortes de “voix intérieures” qui leur disaient quoi faire, sans qu'ils se demandent s'il y avait quoi que ce soit à y objecter selon leur bonne conscience.

C'est le fameux “chaînon manquant” de l'histoire de l'évolution cognitive de l'être humain qui a été découvert par le Professeur Julian Jaynes de l'Université de Princeton, U.S.A.

Tendance

Mais, médisant
Quand pensent les villes à joie


Mémé disant
Qu'en pensent les vils à joie

Sweet Home

Ah, la vie pauvre!
Y-a-t-on droit encore?


Ah, l'Amérique...
Le rêve quoi...

Les Pauvres, resteraient-ils les héritiers du rêve et de la liberté?

mercredi 29 octobre 2008

Quand les SDF* auront des Tractos...

Je voulais écrire le CHEMIN de ma vie
J'ai l'impression de l'écrire au commissariat

* Sauvage Des Forêts

lundi 20 octobre 2008

Le chemin du Pays qui n’existait pas

D’abord, une idée folle.

Aller faire revivre un vieux castel au sommet d’un rocher, sans chemin d’accès, et aux ruines à peine visibles.

Après l’élagage et le retraçage à la pioche à travers des zones d’éboulement d’un sentier, selon un repérage cadastral, nous posons sur le cite un petit Tipi. (2001)

Et voilà, une histoire de cœur qui commence.

Mais cela était-il raisonnable ?

Pas d’autorisation,

Pas de moyen matériel,

ni financier.

Mais au diable la raison et les gens raisonnables.

Aujourd’hui, l’histoire continue, avec du vieux matériel qui ne compte plus les réparations, et un bâtiment qui a retrouvé une partie de ses fondations.

Ce pays n’existera pas pour les gens raisonnables,

Et seuls les gens de cœur en trouveront le chemin.

vendredi 17 octobre 2008

Inspiration




Un jour, quand je serai grand, pas en taille, ni en âge, ni en réussite, ni en richesse, Grand, tout simplement, alors je resterai amoureux.


Chat man


Que la force soit avec nous
Pour les siècles des siècles

HOMO SA VIENT



Il était une fois...

Tipis de rêves

Oh, divine conscience, tu es la garante de notre éternité.



Pourquoi chercher à devenir alors que nous sommes déjà là.







jeudi 16 octobre 2008

L'abri des pélerins

C'est une maison bleue, adossée à la colline...

Qu'avec de la récup.