jeudi 30 octobre 2008

Clin d'oeil à Julian Jaynes

La société devient bien trop complexe pour les humains, au point qu'ils ne peuvent même plus interagir comme ils l'avaient toujours fait avec leur langage si simple, en ayant un cerveau quasiment semblable à celui de leur ancêtres fonctionnant uniquement “à l'instinct” ...

A cette époque, les gens étaient comme “guidés” par des sortes de “voix intérieures” qui leur disaient quoi faire, sans qu'ils se demandent s'il y avait quoi que ce soit à y objecter selon leur bonne conscience.

C'est le fameux “chaînon manquant” de l'histoire de l'évolution cognitive de l'être humain qui a été découvert par le Professeur Julian Jaynes de l'Université de Princeton, U.S.A.

Tendance

Mais, médisant
Quand pensent les villes à joie


Mémé disant
Qu'en pensent les vils à joie

Sweet Home

Ah, la vie pauvre!
Y-a-t-on droit encore?


Ah, l'Amérique...
Le rêve quoi...

Les Pauvres, resteraient-ils les héritiers du rêve et de la liberté?

mercredi 29 octobre 2008

Quand les SDF* auront des Tractos...

Je voulais écrire le CHEMIN de ma vie
J'ai l'impression de l'écrire au commissariat

* Sauvage Des Forêts

lundi 20 octobre 2008

Le chemin du Pays qui n’existait pas

D’abord, une idée folle.

Aller faire revivre un vieux castel au sommet d’un rocher, sans chemin d’accès, et aux ruines à peine visibles.

Après l’élagage et le retraçage à la pioche à travers des zones d’éboulement d’un sentier, selon un repérage cadastral, nous posons sur le cite un petit Tipi. (2001)

Et voilà, une histoire de cœur qui commence.

Mais cela était-il raisonnable ?

Pas d’autorisation,

Pas de moyen matériel,

ni financier.

Mais au diable la raison et les gens raisonnables.

Aujourd’hui, l’histoire continue, avec du vieux matériel qui ne compte plus les réparations, et un bâtiment qui a retrouvé une partie de ses fondations.

Ce pays n’existera pas pour les gens raisonnables,

Et seuls les gens de cœur en trouveront le chemin.

vendredi 17 octobre 2008

Inspiration




Un jour, quand je serai grand, pas en taille, ni en âge, ni en réussite, ni en richesse, Grand, tout simplement, alors je resterai amoureux.


Chat man


Que la force soit avec nous
Pour les siècles des siècles

HOMO SA VIENT



Il était une fois...

Tipis de rêves

Oh, divine conscience, tu es la garante de notre éternité.



Pourquoi chercher à devenir alors que nous sommes déjà là.







jeudi 16 octobre 2008

L'abri des pélerins

C'est une maison bleue, adossée à la colline...

Qu'avec de la récup.

Recherche


Équilibre des forces naturantes

Méditation

+++++Le silence intérieur +++++

On avance....

lundi 13 octobre 2008

Les agapes

Druidisons, Ovatons, Bardons
Et ou vatons

J'arrive


Le retour des Templiers

The chantier

BON, on commence par où?

Et c'est parti !

Ça continue

Bon, ce n'est pas fini...

Encore un peu d'huile de coude,
et on en parlera à la veillée au coin du feu.

vendredi 10 octobre 2008

Libertè



Ne nous parlez plus de héros

Ne nous parlez plus de révolutions

Laissez-nous créer :

Une arme en amour,

une bombe à lumière,

un fusil à fleurs,

une vie sans barrières.

Laissez-nous rêver :

D’un enfant-président,

d’un roi sans couronne,

d’un Jésus indien,

d’un Dieu qui pardonne

même ceux qui l’oublient.

chat alors


Çà chauffe

lundi 6 octobre 2008

Cybel

Dans le sommeil, des hommes ont peuplé mon rêve.

De leur lieu sacré, ils ont entendu mon appel.

Je leur ai dit : « Je suis sur ma rive, emmenez –moi sur la mer de l’effroi »

Ils ont hissé les voiles de leur navire et m’ont accepté comme l’un des leurs.

Le terme de notre voyage fut un monastère.

Les ermites étaient là, égarés sous leur manteau.


Où est donc notre Aimée ?


Ceux qui se sont enivrés, dans l’espoir de percevoir la «céleste beauté » sur son trône de rubis… … …





Quand le soleil se noie dans une mer de brume,

Quand une vague de nuit déferle sur le monde,

Quand la vue s’est éteinte dans les yeux et les cœurs,

Quand ton chemin se perd comme dans un labyrinthe,

Toi qui erres et qui cherches et qui comprends,

Tu n’as plus d’autre guide que les yeux des mots.

Le poète brode des mots comme une danse nuptiale, dans l’espoir d’un partenaire attentif. Et, dans une secrète complicité, ils attendent la révélation qui leur semblait promise.