vendredi 24 septembre 2010

Retour vers les futurs


Les temps changent
et le fluide qui anime les relations des bulles ego-tique
se colore d'émois harmonique.

mardi 31 août 2010


Quand il est question de bicaméralité

Pour présenter le sujet :
Le cerveau gauche, qui commande la main droite est le scientifique et le dictateur, et développe son pouvoir par la parole.
Le cerveau droit, qui commande la main gauche est l’artiste et la conscience dans les coulisses, et la voyance est sa raison d’être.

Par inspiration, celui qui est à l’écoute de ses voix intérieures, se dispose à l’harmonie et celui qui expire la parole entraîne la dysharmonie.

Dans une société harmonieuse, les individus qui se relieraient par les voix intérieures n’auraient pas besoin des voix autoritaires extérieures.

Les paroles sont, à un degré certain, une forme de dictature, dont seul un regard affectif peut donner le recul nécessaire pour les dépasser et retrouver le chant harmonieux.

La seule relation qui devrait prévaloir entre les êtres serait le chant et la poésie, ainsi que le regard complice… et la présence silencieuse.

lundi 8 février 2010

mardi 2 février 2010

De Nergal à Erra

Puis Erra se déchaîne :
Les temples sont profanés,
Les lieux habités deviennent des déserts,

Les fripons ont accès aux palais des princes,
Le fils déteste son père,

La mère déteste sa fille,

Le boiteux court plus vite que l’homme normalement constitué,

Les jeunes sont enterrés par les vieux,
L’homme mange l’homme…


Et les trois Vesta ont rallumé le foyer Divin,

Par leurs chevelures de Gorgones,

Vanité, hypocrisie, et luxure

Lumière, danse et musique

Leurs regards pétrifieront le profane
Et l’initié les consommera…

Et le palais de Nergal deviendra lumière…

Et le royaume des enfers sera de nouveau maîtrisé.

Que les abîmes du temps s’ouvrent par l’Harmonie des cordes.
Et la divinité rejaillira dans l’éternité!

vendredi 29 janvier 2010

Métaphore

Entre la relativité du subjectif et la rigidité de l’objectif, je tente une harmonie avec mon prochain, étant précédemment en retard sur maintenant.
Pourquoi le temps rend tout relatif ?

Au cœur de la relation, l’histoire coule autour de son axe, et nous rapproche en conscience !

mercredi 13 janvier 2010

Fin des temps modernes

En quatre-vingt deux, je vivais avec mes frères et mes sœurs dans une communauté et nous étions persuadés que la société entraînait sa perte.
Le nucléaire, la spéculation commerciale, le béton, la volonté de tout changer, l’oublie des sagesses ancestrales, et puis ceux qui voulaient devenir riches avant les autres, au détriment des autres… …surtout ne plus avoir d’enfants pour ne pas qu’ils souffrent du « no-futur », étaient la trame de notre vie-polémique.

Et puis, savoir d’où l’on vient, ce que l’on a oublié dans la course du temps, et retrouver ce qui nous unit, et et et … tout a continué… tout a dégénéré… et les loups reviennent pour chanter nos désillusions.

Viens, je t’emmène, on retourne, on rentre…à la maison

La genèse coule toujours dans les veines des femmes et de l’Homme.

vendredi 8 janvier 2010

D'Aristote à Khadra

Aristote, philosophe Grec (384 av JC), dans son traité de politique, tome 1, écrit :
« Celui qui est sans cité est un être ou dégradé ou supérieur à l’homme. »
Et plus loin :
« L’homme qui ne peut pas vivre en société, ou qui n’en a nul besoin, parce qu’il se suffit à lui-même, ne fait point partie de la cité : dés lors, c’est un monstre ou un dieu. »


Monsieur Mohamed Moulessehoul, célèbre sous le pseudonyme féminin de Yasmina Khadra, nous révèle en son fort intérieur :

« J’ai toujours été fasciné par les marginaux. Ce sont des divinités, pas des vaincus, mais des gens qui ont compris une chose que je ne comprendrai jamais. »



Par la présence des bédouins et le silence des déserts, il vient un temps où les révélations viennent de l’intérieur dans une intention qui nous semble étrangère, et pourtant si familière.

Un doute dans nos certitudes est le début de la bonne foi.