Les Dieux, dans les temps antiques ont eu leurs citées pour s’épanouir.
A nous, les êtres humains, d’en construire une pour les rejoindre.De la tragédie des nations, des hommes, des familles, naît le déchirement du cœur, et, par la bonne volonté, nourrissant le désir, puis l'amour, renaît l'unité.Nous, la jeunesse, sommes remplis de la souffrance de nos aînés et sommes là pour la transmuter en amour.Les flamants roses nous invitent à traverser le mur de nos peurs.
Regardons nos horreurs pour en découvrir dans nos cœurs la beauté qu’elles engendrent.Pendant sept ans, j'ai souffert pour une cité de rêve.
Aujourd'hui, des âmes nobles me l'accordent.
Je redécouvre cette société « humaine ».
Il ne me reste plus qu'à soigner mes blessures pour ne plus blesser mes frères et mes sœurs.
Communion
Ces mots te donnent la musique des silences que nos raisons délaissèrent aux anges.
Enlaçons et délaçons les lacs dans la perfection d'un entrelacs que la beauté contemple, dans la liberté d'une souffrance apaisé.
Perfection de nos attentions mutuelles, je te donne cette lumière pour nos danses éternelles.
Que la légèreté des fluides subtiles te donne la place de t'épanouir.
Toi qui pose le regard sur ces lignes, la lumière de ton attention nous unit à l'unisson, sans que nous nous côtoyions.
Je te donne quelques fruits désirables, mais je garde quelque perles rares.
Ces termes furent ciselés au ciseau de cristal que la lumière électrique amène à ton pupitre.