vendredi 29 janvier 2010

Métaphore

Entre la relativité du subjectif et la rigidité de l’objectif, je tente une harmonie avec mon prochain, étant précédemment en retard sur maintenant.
Pourquoi le temps rend tout relatif ?

Au cœur de la relation, l’histoire coule autour de son axe, et nous rapproche en conscience !

mercredi 13 janvier 2010

Fin des temps modernes

En quatre-vingt deux, je vivais avec mes frères et mes sœurs dans une communauté et nous étions persuadés que la société entraînait sa perte.
Le nucléaire, la spéculation commerciale, le béton, la volonté de tout changer, l’oublie des sagesses ancestrales, et puis ceux qui voulaient devenir riches avant les autres, au détriment des autres… …surtout ne plus avoir d’enfants pour ne pas qu’ils souffrent du « no-futur », étaient la trame de notre vie-polémique.

Et puis, savoir d’où l’on vient, ce que l’on a oublié dans la course du temps, et retrouver ce qui nous unit, et et et … tout a continué… tout a dégénéré… et les loups reviennent pour chanter nos désillusions.

Viens, je t’emmène, on retourne, on rentre…à la maison

La genèse coule toujours dans les veines des femmes et de l’Homme.

vendredi 8 janvier 2010

D'Aristote à Khadra

Aristote, philosophe Grec (384 av JC), dans son traité de politique, tome 1, écrit :
« Celui qui est sans cité est un être ou dégradé ou supérieur à l’homme. »
Et plus loin :
« L’homme qui ne peut pas vivre en société, ou qui n’en a nul besoin, parce qu’il se suffit à lui-même, ne fait point partie de la cité : dés lors, c’est un monstre ou un dieu. »


Monsieur Mohamed Moulessehoul, célèbre sous le pseudonyme féminin de Yasmina Khadra, nous révèle en son fort intérieur :

« J’ai toujours été fasciné par les marginaux. Ce sont des divinités, pas des vaincus, mais des gens qui ont compris une chose que je ne comprendrai jamais. »



Par la présence des bédouins et le silence des déserts, il vient un temps où les révélations viennent de l’intérieur dans une intention qui nous semble étrangère, et pourtant si familière.

Un doute dans nos certitudes est le début de la bonne foi.