mercredi 31 décembre 2008

Herméneutique et/ou clés cognitives ?

Il y a des volontés pour que ce monde ne change pas, malgré le constat des inégalités de richesse et la destruction qui en découle.

Le public s’en accommode, dans la peur d’autre chose, ou de reconnaître une quelconque erreur d’appréciation personnelle.

Mais cela ne peut cacher un fait : Nous avons rencontré l'ennemi et c'est Nous.


Aujourd’hui, de nouvelles réalités s’imposent et sont invariablement autodidactes, donc non publiques.

L’intention qui nous est étrangère s'accomplie, cela à l’indifférence des gagneurs dans leurs pleurs.


La sortie de crise est dans l’adoption de solutions simples comme nous la susurré Nicola Tesla.

lundi 8 décembre 2008

Tiens ! un autre moi…

Nous bavardons sans cesse avec nous-mêmes à propos de notre monde.

En fait c’est ce bavardage intérieur qui maintient notre monde tel qu’il est.

Et quand cesse ce bavardage intérieur sur nous et notre monde, le monde reste inchangé.

Nous le renouvelons, nous le maintenons, nous l’entretenons par ce bavardage intérieur.

Plus encore, nous choisissons nos chemins comme nous parlons à nous mêmes.

Ainsi, nous répétons toujours les mêmes choix jusqu’au jour de notre mort, parce que nous répétons sans cesse le même dialogue intérieur.


Une solution serait certainement dérangeante, et n’est certainement pas sujette au dialogue, alors…

lundi 24 novembre 2008

Certitude

Les gens nous disent dés notre naissance que le monde est comme ceci et comme cela, et naturellement nous n’avons d’autre choix que d’accepter le monde tel que les gens nous l’ont décrit.




Est-il encore possible d’exister par soi même sans devoir adhérer aux idées reçues d’une quelconque secte, religieuse ou sociale.

J’entends que « exister par soi même » consiste à s’appuyer sur ses propres expériences et convictions du monde, et peut-être, se retrouver seul…

Voilà le chemin du guerrier, s’affranchissant de la suffisance.

samedi 15 novembre 2008

Des images qui parlent et des paroles imagées.

J’étais là, étranger au milieu des miens,

Cherchant mon chemin dans un autre monde.


Ils étaient tous là, une offrande dans leurs mains,

Ayant foi en leur raison d’être.

Quand la cérémonie fût achevée,

Nous étions frères et sœurs,

Pour un instant d’éternité.


Et puis… … …

Sur-nom

« Délire » titubait sur le chemin de la vie,

Une bouteille d’éternité à la main.

Mais où était passé son lot d’habitudes,

Qui l’entraînait sur la mer de l’oublie.


Et capitaine « cœur de miel »,

Entra dans un profond sommeil.

vendredi 14 novembre 2008

Les abîmes du temps à la porte du second anneau de pouvoir


La tradition est attachée au passé.

L’invention est attachée au futur.

La société médiévale condamnait tout ce qui était invention comme étant l’œuvre du diable, et de ce fait, empêchait toute évolution.

Les dirigeants de notre société ont voulue une évolution rapide par l’abandon des problèmes dus aux consciences passées.

Ils ont imaginé la P.N.L. (programme neuro linguistique), pour reprogrammer la société, s’appuyant sur le paupérisme des masses et sur une confiance aveugle en leur futur.

Jadis, la société était dirigée par les religieux, donc conservatrice.

Aujourd’hui, elle est dirigée par des matérialistes, donc inventive.

Maintenant, nous sommes dangereusement coupés de notre passé, pris dans une cascade de problèmes futurs.

J’extrapole :

Les anges sont des conservateurs, donc ils cherchent à rendre le passé permanent.

Les démons sont des provocateurs, donc ils cherchent à rendre le présent dynamique, entraînant un futur.

Et l’équilibre dans tout cela ?

Entre le monde coincé d’avant et le monde fragile de demain, ne faudrait-il pas rééquilibrer la balance, pour retrouver l’instant présent, dans la conscience, la mesure, la responsabilité et la simplicité ?

vendredi 7 novembre 2008

Hippy-pip hourra

Le mouvement Hippy ne fut pas un mouvement prémédité.

Devant les perspectives d’un monde dit « moderne », que certains êtres humains ne pouvaient pas supporter moralement, il se développa spontanément.

Il recèle une dimension intuitive et instinctive.

Il fut un débordement d’émotion, exprimé par une création artistique, face au guet-apens et à l’encadrement resserré d’autorité dictatorial.

Un besoin de liberté poussa ces jeunes gens d’alors à se rapprocher des anciens peuples naturels.

Ils cherchèrent à adopter les modes de vie tribal qui restaient côtoyables sur terre.(Indien, Amérindien, Africain, ext.)

Mais, ici, dans notre terroir, c’est bien le peuple celte, nommé par les Romains « les chevelus », qui chercha à renaître. (pour information, le système administratif actuel est calqué sur celui des Romains)

Quand l’humain est aculé dans sa situation, le silence de son mental réouvre la voie des ancêtres.

Il y a 2000 ans, à peu prés, les Romains chassèrent le naturel des autochtones, et voilà qu’il sembla revenir au galop.

Et le galop d’un cheval qui porte crinière rapporte l’énergie naïve, mais authentique.

Et Jésus, pourquoi l’a-t-on toujours représenté avec les cheveux longs ?

N’était-il pas le plus grand des hippys ?

Il semble d’ailleurs que hippy et martyr soient synonymes par le désir des gens dit « bien rangés ».

Je dis que les lois semblent faites pour forcer les personnes immorales à vivre ensemble, et que les véritables êtres humains ressentent l’attitude correcte à adopter.

Mais voilà, les lois servent certains à asseoir leur autorité.

Qu’est il possible humainement de faire ?

Laisser la nature faire ?

Alors, restons inactifs !

Montrer l’exemple ?

Aujourd’hui, les marginaux que je côtoie ont bien du mal à s’entendre.

Et puis, ils sont bien trop occupés à survivre dans ce système.

Alors, il reste le chemin de grand petit homme…

jeudi 6 novembre 2008

Une aventure tribale : la sweat loge

D’abord, on fait un cercle de trous.

Puis on y enfonce de grandes branches de saule.

Ensuite, on les attache entre elles pour former une voûte.


Pour finir l’ossature, on attache de grandes tiges de saule en cercles concentriques pour former un quadrillage résistant.


Il ne reste plus qu’à couvrir le tout de couvertures de laine, et à préparer le feu pour chauffer les pierres.


Après la cérémonie, après avoir connu la naissance du monde, et après s’être ré habillé car c’est l’hiver, une nouvelle vie commence ...

Bon, tout le monde a survécu.

A suivre…

mardi 4 novembre 2008

Etre Hippy, pour côtoyer les dieux

Je suis le gardien de la mémoire de mes frères et sœurs, morts pour la liberté d’avoir voulue être autre chose que les prisonniers d’idées reçues et imposées.


Elle m’a donné le regard de sa détresse le jour où elle quitta ce monde.

Je n’oublierai jamais ce qu’est le cœur d’un oiseau qui ne put accepter une prison.

Son âme était vierge de toute méchanceté, et son corps violé par des personnes sûres d’elles.

Cette âme est restée la couleur secrète de ma vie, qui la fit naturante et fluide.


Je ne suis plus des idées, mais une vibration qui remplit l’insondable par tous les sourires d’éternité, en feux d’amours, en silences musicaux, en bonheurs secrets, en lumières sur le velours de la nuit.

Et pourquoi pas oser vivre sa sensualité à la face des ombres sérieuses ?




Puissent ces mots ouvrir une fenêtre sur ton âme.

Mais revenons aux rêves de nos silences complices.

jeudi 30 octobre 2008

Clin d'oeil à Julian Jaynes

La société devient bien trop complexe pour les humains, au point qu'ils ne peuvent même plus interagir comme ils l'avaient toujours fait avec leur langage si simple, en ayant un cerveau quasiment semblable à celui de leur ancêtres fonctionnant uniquement “à l'instinct” ...

A cette époque, les gens étaient comme “guidés” par des sortes de “voix intérieures” qui leur disaient quoi faire, sans qu'ils se demandent s'il y avait quoi que ce soit à y objecter selon leur bonne conscience.

C'est le fameux “chaînon manquant” de l'histoire de l'évolution cognitive de l'être humain qui a été découvert par le Professeur Julian Jaynes de l'Université de Princeton, U.S.A.

Tendance

Mais, médisant
Quand pensent les villes à joie


Mémé disant
Qu'en pensent les vils à joie

Sweet Home

Ah, la vie pauvre!
Y-a-t-on droit encore?


Ah, l'Amérique...
Le rêve quoi...

Les Pauvres, resteraient-ils les héritiers du rêve et de la liberté?

mercredi 29 octobre 2008

Quand les SDF* auront des Tractos...

Je voulais écrire le CHEMIN de ma vie
J'ai l'impression de l'écrire au commissariat

* Sauvage Des Forêts

lundi 20 octobre 2008

Le chemin du Pays qui n’existait pas

D’abord, une idée folle.

Aller faire revivre un vieux castel au sommet d’un rocher, sans chemin d’accès, et aux ruines à peine visibles.

Après l’élagage et le retraçage à la pioche à travers des zones d’éboulement d’un sentier, selon un repérage cadastral, nous posons sur le cite un petit Tipi. (2001)

Et voilà, une histoire de cœur qui commence.

Mais cela était-il raisonnable ?

Pas d’autorisation,

Pas de moyen matériel,

ni financier.

Mais au diable la raison et les gens raisonnables.

Aujourd’hui, l’histoire continue, avec du vieux matériel qui ne compte plus les réparations, et un bâtiment qui a retrouvé une partie de ses fondations.

Ce pays n’existera pas pour les gens raisonnables,

Et seuls les gens de cœur en trouveront le chemin.

vendredi 17 octobre 2008

Inspiration




Un jour, quand je serai grand, pas en taille, ni en âge, ni en réussite, ni en richesse, Grand, tout simplement, alors je resterai amoureux.


Chat man


Que la force soit avec nous
Pour les siècles des siècles

HOMO SA VIENT



Il était une fois...

Tipis de rêves

Oh, divine conscience, tu es la garante de notre éternité.



Pourquoi chercher à devenir alors que nous sommes déjà là.







jeudi 16 octobre 2008

L'abri des pélerins

C'est une maison bleue, adossée à la colline...

Qu'avec de la récup.

Recherche


Équilibre des forces naturantes

Méditation

+++++Le silence intérieur +++++

On avance....

lundi 13 octobre 2008

Les agapes

Druidisons, Ovatons, Bardons
Et ou vatons

J'arrive


Le retour des Templiers

The chantier

BON, on commence par où?

Et c'est parti !

Ça continue

Bon, ce n'est pas fini...

Encore un peu d'huile de coude,
et on en parlera à la veillée au coin du feu.

vendredi 10 octobre 2008

Libertè



Ne nous parlez plus de héros

Ne nous parlez plus de révolutions

Laissez-nous créer :

Une arme en amour,

une bombe à lumière,

un fusil à fleurs,

une vie sans barrières.

Laissez-nous rêver :

D’un enfant-président,

d’un roi sans couronne,

d’un Jésus indien,

d’un Dieu qui pardonne

même ceux qui l’oublient.

chat alors


Çà chauffe

lundi 6 octobre 2008

Cybel

Dans le sommeil, des hommes ont peuplé mon rêve.

De leur lieu sacré, ils ont entendu mon appel.

Je leur ai dit : « Je suis sur ma rive, emmenez –moi sur la mer de l’effroi »

Ils ont hissé les voiles de leur navire et m’ont accepté comme l’un des leurs.

Le terme de notre voyage fut un monastère.

Les ermites étaient là, égarés sous leur manteau.


Où est donc notre Aimée ?


Ceux qui se sont enivrés, dans l’espoir de percevoir la «céleste beauté » sur son trône de rubis… … …





Quand le soleil se noie dans une mer de brume,

Quand une vague de nuit déferle sur le monde,

Quand la vue s’est éteinte dans les yeux et les cœurs,

Quand ton chemin se perd comme dans un labyrinthe,

Toi qui erres et qui cherches et qui comprends,

Tu n’as plus d’autre guide que les yeux des mots.