mardi 4 novembre 2008

Etre Hippy, pour côtoyer les dieux

Je suis le gardien de la mémoire de mes frères et sœurs, morts pour la liberté d’avoir voulue être autre chose que les prisonniers d’idées reçues et imposées.


Elle m’a donné le regard de sa détresse le jour où elle quitta ce monde.

Je n’oublierai jamais ce qu’est le cœur d’un oiseau qui ne put accepter une prison.

Son âme était vierge de toute méchanceté, et son corps violé par des personnes sûres d’elles.

Cette âme est restée la couleur secrète de ma vie, qui la fit naturante et fluide.


Je ne suis plus des idées, mais une vibration qui remplit l’insondable par tous les sourires d’éternité, en feux d’amours, en silences musicaux, en bonheurs secrets, en lumières sur le velours de la nuit.

Et pourquoi pas oser vivre sa sensualité à la face des ombres sérieuses ?




Puissent ces mots ouvrir une fenêtre sur ton âme.

Mais revenons aux rêves de nos silences complices.

1 commentaire:

disa a dit…

j`attends d`autres posts.
votre blog me plait.