mercredi 13 janvier 2010

Fin des temps modernes

En quatre-vingt deux, je vivais avec mes frères et mes sœurs dans une communauté et nous étions persuadés que la société entraînait sa perte.
Le nucléaire, la spéculation commerciale, le béton, la volonté de tout changer, l’oublie des sagesses ancestrales, et puis ceux qui voulaient devenir riches avant les autres, au détriment des autres… …surtout ne plus avoir d’enfants pour ne pas qu’ils souffrent du « no-futur », étaient la trame de notre vie-polémique.

Et puis, savoir d’où l’on vient, ce que l’on a oublié dans la course du temps, et retrouver ce qui nous unit, et et et … tout a continué… tout a dégénéré… et les loups reviennent pour chanter nos désillusions.

Viens, je t’emmène, on retourne, on rentre…à la maison

La genèse coule toujours dans les veines des femmes et de l’Homme.

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